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il y a 4 ans
Dans cette histoire érotique, il y a de la fessée pour tous
A La Villeneuve sur Horto, petite ville moyenne française entourée d’une campagne agricole, depuis que Tatie Nathalie a montré comment il convenait de punir les adultes désobéissants et que Madame André, la cheffe de magasin du supermarché local, a emboîté le pas, l’usage de la fessée se répand comme une traînée de poudre.
Tout se passe comme s’il avait suffi de leur donner l’exemple pour que des parents, des sœurs, des responsables en tout genre ou même des voisins adoptent cette méthode si efficace. La plupart des corrections sont, bien entendu, administrée au domicile des punis. Mais, peu à peu, voir un ou une adulte, culotte baissée, recevant une fessée dans des lieux les plus divers, est devenu un spectacle commun.
Ce récit est l’histoire de quelques-unes des personnes qui se sont retrouvées soumises à ce régime disciplinaire, pour leur plus grand bien.
Laure était pressée. Cela faisait quinze minutes qu’elle avait quitté son travail et il ne lui en restait plus que cinq pour arriver dans le délai que sa Maman lui avait fixé. La peur sourde de ne pas arriver à l’heure la ramenait vingt ans en arrière. Sa mère avait toujours été très exigeante sur les horaires auxquels elle devait rentrer à la maison. Laure, jusque dans son a d o l e s c e n c e , ne traînait pas avec les copines et encore moins avec des copains. Quand il lui arrivait d’avoir un petit retard, il devait être justifié et quand ce n’était pas le cas, les cris et les reproches de sa mère étaient interminables.
En y repensant, Laure se rappelait de nombreuses « engueulades », comme elle les appelait à l’époque, pour toute sorte de motifs. La qualité de son travail scolaire en fournissait une source quasi inépuisable. Cela avait continué bien après sa majorité, tant que Laure était demeurée dans l’appartement familial. Même maintenant, malgré ses trente-sept ans, sa mère ne se gênait pas pour lui dire son fait quand elle en avait l’occasion.
Maintenant, cela la laissait assez indifférente. Il suffisait d’attendre que sa mère se calme et si cela durait trop, elle s’en allait. Depuis presque quinze ans, elle habitait dans son propre logement. La distance physique, entre sa mère et elle, lui permettait de ne plus avoir à supporter ce qu’elle considérait comme des jérémiades.
Cependant, presqu’à chaque fois, elle devait reconnaître que sa mère avait rarement tort. Elle savait mettre le doigt sur les e n f a n t illages de sa fille. Laure considérait ; malgré cela, que se conformer aux exigences de sa mère lui demanderait un trop grand effort. Il était plus simple de s’accorder des accrocs avec ce qu’il aurait fallu faire. Elle subissait les admonestations de sa mère, mais sans en tenir compte.
Denis, son mari était en phase avec elle sur ce sujet. Il ne l’exprimait pas trop, mais il ne prêtait pas une grande attention à ce que disait sa belle-mère, considérant même qu’elle était agaçante à être aussi exigeante et à avoir aussi souvent raison.
Il était bien plus prudent avec sa propre mère et il lui montrait un respect qui ressemblait plus à celle d’un petit garçon qu’à celle d’un adulte vis-à-vis de sa génitrice. Compte tenu de son côté frondeur habituel Laure trouvait étrange ce respect pointilleux envers sa mère, mais c’était un sujet que Denis n’abordait pas volontiers.
Laure se hâtait, tout en sachant qu’elle se dirigeait vers le lieu de sa prochaine fessée. Elle n’arrivait pas à concevoir que sa mère eût accepté aussi facilement de la punir de cette façon. Elle ne l’avait jamais fait auparavant. Jamais elle n’avait reçu de fessée de la part de sa mère et elle n’arrivait à comprendre comment sa mère s’y était résolue aussi facilement. Sans doute avait-elle mal compris. Il n’était possible que sa mère change aussi soudainement de conviction.
Pourquoi avait-elle obéi aux consignes de Madame André ? Il était si simple de faire comme si cet incident, aujourd’hui, au travail, n’avait jamais eu lieu. Bien sûr, il y avait cette maudite lettre à faire signer. Madame André serait intransigeante sur le sujet et Laure n’avait aucune envie de la défier. Le traitement qu’elle avait subi lui suffisait. Aucune envie d’en subir le même une nouvelle fois. C’était trop humiliant et trop douloureux.
Pourquoi fallait-il que ce soit à sa mère que la cheffe du magasin s’était adressée ? Avec Denis, tout aurait été déterminé d’avance. Il aurait suffi, et Laure n’avait aucun doute à ce sujet, qu’il accepte de parapher le document et Laure aurait pu régler cela entre eux deux, sans se trouver dans une situation difficile. Sa mère n’avait pas besoin d’y être mêlée.
Laure reprit un rythme de marche plus lent, malgré le peu de temps qu’elle avait devant elle pour arriver à l’heure qui lui avait été prescrite. Elle s’arrêta presque, songeant aux attitudes que sa mère avait adoptées ces derniers mois. Elle avait montré de plus en plus franchement son exaspération face à la nonchalance dont Laure et Denis avait fait preuve.
Les achats inconsidérés de mobilier que le couple avait fait dernièrement, l’avait fait sortir de ses gonds. Elle avait exprimé vertement son désaccord, surtout quand Laure et Denis s’étaient plaints de leurs fins de mois difficiles.
« Vous vous conduisez comme des e n f a n t s irresponsables ! Le souci, c’est que je n’ai pas les moyens de contrôler ce que vous faites comme je le ferais avec des gamins ! »
Laure avait été agacée par cette remarque, mais, au fond d’elle-même, elle en avait été également déçue. Elle commençait à sentir, depuis quelques mois, que Denis et elle ne s’en sortiraient pas tout seul. Ils n’avaient ni l’un ni l’autre, la volonté pour sortir de l’indolence dans laquelle ils glissaient inexorablement. Elle aurait apprécié une main secourable, mais elle ne se voyait le demander ni à sa mère ni à sa belle-mère, ni à qui que ce soit d’autre.
« Ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manque ! »
Replacée, dans le contexte actuel, cette phrase pouvait être lourde de sens. Madame André avait facilement convaincu sa mère de recourir à la fessée. Laure n’arrivait pas à se convaincre que sa mère allait franchir le pas. Elle ne l’avait jamais fait jusqu’à maintenant, y compris quand elle était petite fille. Laure ne se rappelait pas avoir reçu une seule fessée, avant, évidemment, celles qu’elle avait subies aujourd’hui.
Elle ne s’imaginait pas soumise à une fessée que lui donnerait sa mère. Cela lui semblait tout à fait hors du champ des possibles.
« Il y a un peu plus de vingt-quatre heures, je n’aurais, non plus, jamais pensé être déculottée et fessée devant tous mes collègues de travail. »
Et pourtant, c’était bien ce qui s’était produit. Elle était encore stupéfaite de la facilité avec laquelle cela c’était déroulé. Ce n’était que l’aboutissement d’un long processus de reproches, de petites fautes professionnelles, de négligences qui s’étaient accumulées depuis les six mois qu’elle travaillait dans le magasin.
Sa chef avait déjà envisagé, à deux reprises, de la renvoyer. Laure était une bonne employée, mais elle avait des excès de nonchalance qui lui faisait oublier toute l’exigence qui était requise. Cela exaspérait ses supérieurs hiérarchiques qui prenait ces moments d’indolence pour de l’insubordination. Laure savait qu’ils, ou plutôt elles, étaient sur le point de prendre une décision définitive la concernant. Ce serait un nouvel échec dans sa vie. Elle ne pouvait pas se le permettre, elle avait absolument besoin de ce travail et encore plus de ne pas se retrouver seule face à ses inconséquences.
Elle savait, en arrivant travailler ce matin, que son chemisier n’était pas propre. Elle avait endossé sa tenue alors qu’elle savait parfaitement que Madame André ne laisserait pas passer une telle infraction aux règles du magasin, mais elle n’avait pas trouvé l’énergie nécessaire pour frotter le col du vêtement. Denis et elle avaient préféré s’asseoir devant la télévision durant toute la soirée.
Elle n’avait pas tiré de conclusion lorsque les deux voleurs avaient été fessés. C’était dans l’ordre des choses malgré leur âge, guère plus jeunes que Laure. C’est quand Josiane avait fait les frais de la même punition, que Laure s’était dit qu’elle pourrait bien être la prochaine à subir un châtiment de cette nature. Elle en avait frissonné d’appréhension, mais elle l’avait envisagé presque sereinement, comme une façon de sortir de l’impasse dans laquelle elle était : une autre façon d’être sanctionnée qui ne passait pas par un renvoi.
Elle ne pensait plus à la tâche sur le col de son corsage quand elle était arrivée. Cela lui était sorti de la tête. Elle avait été surprise quand Madame André l’avait apostrophée. Son cœur s’était mis à battre à tout rompre, mais elle avait su, sur le champ, comment finirait cette réprimande. Inconsciemment elle avait cherché cette fessée, comme le moyen qu’une autre personne lui impose cette discipline qu’elle ne savait pas s’obliger à respecter.
La réaction de Madame André avait été au-delà de ses espérances … et de ses craintes. Maintenant il fallait faire face à sa mère. Quel accueil allait-elle recevoir ?
Laure sonna à la porte de l’appartement de sa mère.
« Presque cinq minutes de retard ! Qu’as-tu été lambiner en chemin ? »
Madame Talouet saisit sa fille par le bras. Elle lui fit faire un pas en avant et, sans prendre la précaution de fermer la porte derrière elle, elle lui donna une forte claque sur les fesses. La jupe am o r t it la puissance du coup, mais le ton était donné.
« File dans le séjour, j’arrive tout de suite ! »
Laure resta debout au milieu de la pièce, attendant sa mère. Elle ne se faisait plus d’illusion. S’expliquer n’était pas à l’ordre-du-jour. Elle se sentait honteuse de sa négligence avec ses vêtements de travail. Tout le décalage entre ce qu’elle aurait dû être capable de faire à son âge et ce qu’elle réalisait réellement, lui paraissait maintenant comme une évidence. Elle attendait de subir la punition de la part de sa mère, comme une catharsis qui mettrait fin à ce sentiment de culpabilité. Cela n’empêchait pas ses entrailles de se nouer à la pensée de ces prochaines minutes qui seraient loin d’être agréables. Elle avait encore un vague espoir, au fond d’elle, qu’elle s’en tirerait avec une réprimande bien sentie.
Sa mère passa la tête par la porte entrouverte.
« Dis-moi, Laure, Ne crois-tu pas que tu devrais être au coin ? Madame André m’a dit que tu y avais passé une bonne partie de tes pauses aujourd’hui. Je pense que c’est là où doivent se trouver les jeunes gens punis. Dépêche-toi ! »
Sa mère désignait l’angle de la pièce qui était disponible. Laure ne songea pas à protester. Cela faisait effectivement partie des situations normales quand on était puni. C’est du moins ce qu’elle avait retenu de sa journée. Elle se dirigea vers l’espace qui lui était désigné. Elle plaça son nez aussi loin qu’elle le put dans le coin. Elle hésita. Devait-elle soulever sa jupe pour mettre sa culotte à la vue de sa mère ? Elle croisa ses bras dans le dos. Aucune remarque ne vint lui demander de rectifier sa position. Elle estima que sa mère se contentait de cette position.
L’attente commença. Sa mère se déplaçait dans son appartement au gré des activités dont Laure ne déchiffrait rien. Elle se demandait si cela aurait une fin juste au moment où le téléphone de sa mère sonna.
« Ah bonjour Clotilde ! »
Laure sursauta dans son coin. Clotilde ? Se pouvait-il qu’il s’agisse de sa belle-mère ? Elle ne savait pas que sa mère et celle de Denis avaient des conversations téléphoniques. La conversation fut courte.
« Vous êtes arrivée ? Parfait ! Je vous rejoins dans … disons vingt minutes. Le temps du déplacement après avoir donné une fessée à Laure. »
L’indignation submergea Laure. Comment osait-elle faire savoir qu’elle allait recevoir une fessée ? Surtout à sa belle-mère. Comment pourrait-elle, désormais, la regarder en face ? Elle ne put se retenir plus longtemps. Laure fit face à sa mère.
« Tu n’as pas le droit de dire à tout le monde que je vais avoir la fessée ! C’est assez difficile comme cela sans que tu mettes au courant la terre entière ! Je ne …
– Ça suffit ! »
L’autorité mise dans cette simple apostrophe arrêta Laure dans son élan. Il suffit de trois pas pour que sa mère fût auprès d’elle. Laure voulut se remettre au coin, mais elle en fut empêchée. Elle avait fait une erreur et elle voyait bien que sa mère ne la laisserait pas passer sans réagir.
C’est sans résister qu’elle laissa sa mère la courber sous son bras. La position lui sembla presque familière, pourtant elle n’avait reçu, dans cette position, qu’une seule fessée, la première donnée le matin même par Madame Archain, sa supérieure hiérarchique.
Elle ne fut pas surprise quand elle sentit que sa jupe fût remontée sur ses reins, dégageant sa culotte. Elle se raidit cependant quand sa Maman glissa son pouce sous l’élastique du sous-vêtement.
Elle avait bien conscience que le déculottage imminent inaugurait une nouvelle ère dans sa vie. Elle ne pensa cependant pas du tout à s’opposer à cette décision de sa mère malgré la honte d’exposer une nouvelle fois ses fesses nues. Rien d’anormal à ce qu’elle soit fessée. Sa Maman en avait le droit. Cela faisait désormais partie de sa responsabilité vis-à-vis de sa fille, dans la droite ligne des changements dans les modalités disciplinaires au travail.
Madame Talouet émit un grognement désapprobateur.
« Rien d’étonnant à ce que Madame André se soit offusquée à la vue de ta culotte. Je suppose que le soutien-gorge est à l’avenant. C’est une honte de porter des sous-vêtements aussi indécents. Je vais y mettre bon ordre. »
Bien qu’elle l’attendît, la première claque la prit par surprise. Elle laissa sur ses fesses une sensation d’échauffement. La deuxième suivit aussitôt et tous les muscles de Laure se tétanisaient à chaque fois que sa mère en rajoutait à la cuisson qui gagnait rapidement toute la surface de ses fesses. Elle sentit la prise de sa mère sur sa taille se faire plus étroite quand la douleur l’amena à effectuer des mouvements de plus en plus brusques du bassin, puis des jambes. Ce fut un soulagement quand la fessée cessa.
« Tu vas apprendre, ma fille, à montrer un peu plus de respect à ta mère. En tout ce qui concerne la fessée, c’est moi qui déciderai, y compris à qui j’en parlerai. Et je peux te promettre que je n’en ferai pas mystère. Cette fessée, c’est pour t’apprendre que je ne veux plus t’entendre contester mes décisions sur le sujet. »
La fessée reprit, encore plus intense qu’avant, sembla-t-il à Laure alors qu’elle la croyait finie. La douleur devint brusquement insupportable quand elle prit conscience que la punition serait sévère, bien plus qu’elle ne l’avait espéré. Elle renonça aussitôt à faire bonne figure sous le châtiment qui n’en finissait pas. En une seconde, c’est un torrent de larmes qu’elle laissa s’échapper de ses yeux. Maintenant ses cris accompagnaient chaque claque pour finir en une longue plainte ininterrompue.
La fin de la fessée arriva alors qu’elle n’y croyait plus. Madame Talouet la laissa dans la position disciplinaire, faisant craindre à Laure que ce ne soit qu’un répit avant une nouvelle avalanche de claques.
« Silence, exigea Madame Talouet ! Je veux que tu écoutes ce que j’ai à te dire. »
Laure était toute à sa douleur qui ne s’apaisait pas. Deux claques bien sentie, une de chaque côté, la rappelèrent à l’obéissance.
« Tu te tais et tu m’écoutes ! »
Sa mère la laissa bénéficier d’une dizaine de secondes pour contenir les s a n g lots qu’elle avait encore au fond de la gorge.
« Cette fessée n’efface que ton insolence. Tu en as mérité une autre pour avoir quitté le coin sans que je t’y autorise. C’est la dernière fois que cela t’arrive ou alors je me fâcherai pour de bon. Avant ce soir, tu auras une autre fessée pour te punir de ta désobéissance. »
A cette annonce, Laure reprit son gémissement que sa mère fit taire d’une bonne claque sur les fesses.
« Je ne veux pas t’entendre ! »
Laure se le tint pour dit.
« Si je compte bien, cela te fait deux fessées à recevoir avant que tu ailles au lit. Je n’ai pas oublié celle que tu dois prendre pour ton comportement au travail. Je vais m’en occuper tout à l’heure. Va te remettre au coin, le temps que je me prépare. »
Cette fois-ci, Laure n’hésita pas. Elle reprit sa position au piquet et elle retroussa sa jupe pour laisser apparaître ses fesses rougies, comme on le lui avait appris au travail. Il ne s’agissait plus de désobéir une nouvelle fois.
« Parfait, commenta sa mère, c’est exactement comme cela que tu dois te tenir. Je vois là le résultat du travail de Madame André. »
« Laure, il est temps d’y aller. Approche que je te rende présentable. »
Madame Talouet remonta la culotte de sa fille jusqu’à mi-cuisses.
« J’hésite à te remettre ce bout de chiffon qui ne cache rien de tes fesses. Tu pourrais aussi bien ne pas avoir de culotte du tout. Cela ne changerait rien. »
Les yeux de Laure s’agrandirent d’effroi.
« Non, Maman, s’il te plait !
– Et pourquoi non ? Tu te promènes bien régulièrement avec, sous ta jupe, des fesses quasi nues. Si tu n’as plus de culotte, personne n’y verra de différence, même quand tu seras dans la rue. Sauf si je te fesse, bien entendu. Il faudrait que tu sois désobéissante. De toute façon, dans cette situation, culotte ou pas, si je dois te punir avant d’arriver cher toi, ce sera les fesses nues. »
Laure n’osa plus plaider sa cause. L’idée de recevoir une fessée déculottée dans un espace public dépassait son entendement. Pourtant, sa mère semblait sérieuse.
« Seras-tu désobéissante ?
– Oh non Maman !
– Je vais te laisser le bénéfice du doute. »
Madame Talouet acheva de remonter la culotte.
« Dès que nous serons chez toi, je te l’ôterai et tu la jetteras. Je ne veux plus jamais la voir. Je vérifierai ! Est-ce compris ? »
Compte tenu du prix que valait ce « bout de chiffon » comme l’appelait sa mère, Laure faillit protester. Elle se retint à temps. Mieux valait faire profil bas. Laure ne se sentait pas vraiment dans une position qui lui permettait de discuter les décisions de sa mère.
« Oui Maman.
– A la bonne heure ! Je vois qu’aujourd’hui tu n’as pas seulement appris à te tenir au coin, mais également à obéir à ta mère. Depuis le temps que j’attends cela ! J’aurais dû recourir à la fessée depuis bien longtemps ! »
Laure avait une opinion différente. Elle se demandait jusqu’à où l’entraînerait ce régime disciplinaire auquel elle était maintenant soumise. Elle admettait qu’elle avait besoin d’être recadrée afin qu’elle soit plus exigeante avec elle-même. Elle aurait préféré que cela ne passât pas par une utilisation trop fréquente de la fessée.
Maintenant qu’elle avait mis le doigt dans l’engrenage, elle se sentait emportée dans une succession d’événements dont elle n’avait plus la maîtrise. Sa mère accepterait-elle de revenir en arrière ? Au vu de ce qui s’était passé depuis son arrivée dans l’appartement parental, elle en doutait fortement.
« Mets ton manteau ! Nous y allons ! »
Laure comprit vraiment le niveau d’obéissance qui était désormais attendu d’elle lorsqu’il fallut traverser la rue.
« Donne-moi la main ! »
Incrédule, Laure regarda sa mère. Le regard qui lui fut retourné la dissuada de toute discussion. La promesse, en cas de désobéissance, d’une fessée immédiate y était clairement lisible. C’est tenue par la main que Laure traversa la rue.
Quand elle voulut reprendre sa liberté sur le trottoir d’en face, sa mère, d’une claque sur les fesses mit fin à la tentative.
« Ça suffit, Laure ! Si tu n’es pas sage, je te donne une fessée ! »
Laure s’en tint là. Elle vérifia que personne n’avait été assez proche pour avoir entendu la menace de sa mère. Elle eut un doute quand une jeune fille qui venait de passer devant elles, se retourna brièvement. Heureusement, la passante s’éloigna sans prêter plus attention à l’étrange attelage qu’elle constituait avec sa mère.
Reprise en mains maternelle - chapitre 2
Maman était toujours aussi fâchée après moi quand nous arrivâmes à mon domicile. Elle n’avait pas quitté une seconde son rôle de mère exaspérée par le comportement de son e n f a n t . Elle ne me laissait pas un mètre de liberté. Elle me faisait sentir que j’étais sous son contrôle. Tôt au long du trajet qui menait de sa voiture à mon appartement, elle me tenait par le bras. Deux fois, alors que je marquais une hésitation à obéir à l’une de ses directives, elle me claqua les fesses. Ma jupe les recouvrait. Cela ne me fit pas grand mal, mal c’était dans un lieu public où je risquais de rencontrer des voisins qui me connaissaient.
La première fois, ce fut dans la rue. Il n’y avait que des personnes inconnues, mais deux d’entre elles se retournèrent au bruit de la claque et elles s’immobilisèrent pour nous regarder nous éloigner. La deuxième fois, ce fut dans le hall de l’immeuble dans lequel j’habitais. Ce furent cinq claques sur les fesses qui sanctionnèrent mon comportement quand je me mis à traîner les pieds. J’appréhendais ce que je risquais de trouver en arrivant chez moi.
« Veux-tu une fessée ici et maintenant, Laure ? »
Je croyais la menace sérieuse. Je cessais aussitôt ma résistance et je montrais mon obéissance en devançant les désirs de ma génitrice. Je savais que ma punition n’était pas achevée mais je ne comprenais pas pourquoi Maman ne l’avait pas poursuivie dans son appartement. Denis devait être rentré à la maison. Voulait-elle me punir en sa présence ? Je craignais que la suite de mon châtiment n’implique ma belle-mère, comme le coup de téléphone le laissait penser.
Mon cœur battait follement quand Maman sonna à la porte. Je songeais un bref instant que c’était inutile puisque j’avais mes clés, mais ce n’était pas le moment de me signaler à l’attention de ma mère tant elle semblait encore furieuse contre moi.
Ma belle-mère ouvrit la porte. Je faillis faire pipi par terre. Mes pires craintes se confirmaient. S’il en était besoin, Maman confirma que la fessée était au programme en me faisant avancer d’une bonne claque sur les fesses. Ma belle-mère sourit.
« Je vois que cette jeune dame a appris ce que c’est que de recevoir une fessée. Il semble, de plus, que cela lui ait fait énormément de bien. Vous avez fait de l’excellent travail, Chantal ! Toute l’arrogance que je lisais dans les yeux de Laure, a disparu. »
Je n’avais jamais eu d’atomes crochus avec ma belle-mère. Nous nous supportions, mais cela n’allait pas plus loin. J’évitais de la provoquer car elle disposait d’une autorité naturelle que je ne tenais pas à éprouver.
« Je suis bien contente d’en être arrivé là ! Depuis plus d’un an, poursuivit ma mère, que nous étions parvenus à la conclusion que seule une bonne fessée pouvait remettre nos deux rejetons dans le droit chemin. Je n’avais jamais osé passer à l’acte. »
Je tombais des nues. Non seulement ma mère et ma belle-mère se connaissaient très bien, alors que je croyais qu’elles avaient à peine échangé trois mots au cours d’une unique rencontre, mais de plus, l’un des sujets de conversation qu’elles avaient eus, touchait à la manière de nous discipliner, Denis et moi.
« J’en ai fait autant. Venez voir ! »
Denis se tenait dans l’un des angles de notre séjour. Il avait été dégagé et la plante qui s’y trouvait habituellement n’était plus en vue. Denis nous tournait le dos. Ses bras y étaient croisés, retenant sa chemise au-dessus de ses reins. Son pantalon entourant ses mollets et sa culotte également baissée laissait ses fesses et ses cuisses nues. Les traces encore visibles sur son postérieur montraient la sévérité de la fessée qu’il avait reçue.
Quand il nous entendit entrer dans la pièce, il tourna la tête et, en voyant ma mère, il poussa un gémissement étouffé. Sa mère fondit sur lui. Les claques qu’elle lui asséna résonnèrent dans la pièce.
« Le nez dans le coin ! Je t’ai expressément ordonné de ne pas bouger de là ! Tu auras une autre fessée pour cette désobéissance. »
Denis reprit sa position tout en poussant de petits cris qu’il étouffa bien vite.
« Il est temps que je le reprenne en main. Cela faisait trop longtemps que je ne l’avais pas fessé. Il était temps de recommencer ! »
Denis n’avait jamais été clair sur cette question. C’était une espèce de secret de famille, mais j’en étais arrivé à la conclusion qu’à la différence de la mienne, sa mère n’avait épargné la fessée à aucun de ses e n f a n t s. Suite à quelques allusions qu’elle avait négligemment lâchées au cours d’une conversation, j’avais cru comprendre que cette méthode de discipline familiale avait été utilisée tant que ses e n f a n t s vivaient sous son toit. Comme nous avions emménagé ensemble assez tard, j’en avais déduit que Denis avait été soumis à ce régime quasiment jusqu’à ses trente-cinq ans.
Je n’avais, à l’époque, pas tenu sur le sujet. La façon dont ma belle-mère avait abordé le sujet laissait supposer qu’une fessée ferait beaucoup de bien à certaines personnes bien qu’elles soient adultes. Denis était, à l’évidence visé, mais j’étais également compris dans le lot. J’avais prudemment trouvé un autre sujet de conversation.
« Ce petit effronté s’est cru autorisé à me répondre quand je lui ai annoncé que je surveillerai désormais tous ces actes et ceux de Laure afin d’éradiquer les mauvaises habitudes. Il a même essayé de résister quand j’ai commencé à lui baisser son pantalon. Vous pouvez me croire, cela n’a pas duré longtemps ! »
Denis, dans son coin, restait absolument silencieux et immobile. Apparemment l’autorité de sa mère avait pris le dessus sur sa propre volonté.
« Moins de deux minutes plus tard, quand ses fesses ont commencé à virer au rouge sombre, j’avais de nouveau un petit garçon obéissant à plat-ventre en travers de mes genoux. »
Ma belle-mère montrait un air satisfait. Elle avait accompli son devoir et son fils, au coin la culotte baissée en était la preuve indiscutable. Son autorité n’était plus contestée. Tout était en ordre.
« Fort heureusement, cela a été plus simple pour Laure, répondit ma mère. J’en ai même été surprise mais les fessées reçues à son travail avaient préparé le terrain. Elle a été obéissante y compris quand je lui ai baissé la culotte. Elle savait pertinemment qu’elle avait mérité cette fessée. »
Je ne savais plus où me mettre. Maman parlait, en ma présence, de la fessée qu’elle m’avait donnée aussi ouvertement que si j’avais encore cinq ou six ans. A les entendre, il était normal qu’elles aient, chacune de leur côté, donné une fessée déculottée à leur e n f a n t alors que nous avions, l’un et l’autre, plus de trente-cinq ans. Je n’arrivais pourtant pas à considérer l’avalanche de punitions que j’avais reçues dans la journée comme un fait banal.
Je voulais me cacher, au plus loin de ces deux femmes qui se congratulaient mutuellement des corrections qu’elles nous avaient administrées à Denis et à moi. Je pris conscience que j’avais honte d’avoir été déculottée et fessée, honte que ma belle-mère ait été mise au courant et honte de me pas m’insurger contre ce traitement infantilisant.
Une petite voix ne cessait de me répéter que ces punitions étaient totalement méritées et que je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même. Je ne pouvais en vouloir à ma mère qui n’avait fait que son devoir. L’intrusion de ma belle-mère me gênait bien plus, mais de son côté, elle avait légitimement puni son fils. C’était l’inquiétude pour leurs e n f a n t s et l’amour maternel qu’elles nous vouaient qui les avait conduites à nous imposer leur supervision. Comment pourrait-on, sans ingratitude, se rebeller face à autant de dévouement ?
« Ah, j’oubliais ! Il faut que je m’occupe de cette culotte ! »
Avant d’avoir compris ce qui m’arrivait, Maman m’avait courbée sous son bras et elle avait retroussé ma jupe.
« Regardez-moi ce qu’elle porte comme sous-vêtement ! In-dé-cent ! »
Elle ponctua chacune des syllabes du mot par une forte claque sur mes fesses.
« En effet, cela n’a rien d’une culotte, renchérit ma belle-mère. Je comprends votre indignation. Elle ne cache rien des fesses de cette jeune dame. Je suppose que c’est pareil devant. »
Ma mère me relâcha et elle me redressa.
« Relève ta jupe ! »
Ma courte hésitation suffit pour que je reçoive une claque sur la cuisse.
« Vas-tu obéir ? »
Je retroussais le bas de ma jupe, tout en cherchant à cacher mon triangle pubien. La main leste de ma mère eut tôt fait de rougir le haut de ma cuisse.
« N’essaye pas de nous faire croire que tu es gênée de nous montrer tes fesses. Si c’était le cas, tu porterais une autre sorte de culotte. Ta pudibonderie n’a pas de place ici ! C’est toi qui as pris le risque d’exposer tes fesses ! Plus haut la jupe ! »
Je fermais les yeux, mais j’obéis.
« Tout juste si ça cache les lèvres vaginales.
– Les poils débordent de partout ! »
Les commentaires indignés allèrent bon train pendant un petit moment.
« Il n’est pas question que ma fille porte des dessous pareils ! »
Je sentis les doigts de ma mère s’emparer de l’élastique de ma culotte, puis elle la baissa sur mes chevilles. En un réflexe de pudeur, mes mains descendirent pour se placer devant mon sexe mis à nu, laissant tomber ma jupe.
C’était l’erreur à ne pas commettre. La main de ma mère généreusement appliquée sur le haut de ma cuisse me le rappela sans tarder. Bien que je ne fusse pas tenue, je n’osais pas ni me dérober, ni interposer ma main entre celle de ma mère et ma cuisse qui commençait à me brûler sérieusement. Il ne fallut pas bien longtemps pour que je replace, de moi-même, ma jupe là où elle devait être selon les désirs de ma mère.
« Tu n’as rien à cacher que Clotilde et moi n’ayons déjà vu. Crois-tu que tes fesses aient quelque chose d’exceptionnelle ? Pour ma part, je ne vois qu’une grande fille qui a besoin d’être bien plus souvent punie qu’elle l’a été jusqu’à maintenant. Tu auras donc plus d’une occasion de te tenir devant moi culotte baissée.
– Il va bien falloir que tu t’habitues à ce que, désormais, nous voyons régulièrement tes fesses nues, rajouta ma belle-mère. Ne serait-ce que pour te fesser. »
Je ne savais plus trop où j’en étais. Je levais la jambe machinalement quand ma mère me le demanda et ma culotte sexy dont j’étais si fière, était maintenant roulée en boule dans la main de ma mère. Je n’arrivais pas à imaginer quelle image je donnais, mes bas gainant mes jambes, ma jupe relevée au-dessus de ma taille et, entre les deux, mes fesses nues exposées sur lesquelles un courant d’air donnait un sentiment de fraîcheur.
« Débarrasse-toi de ce morceau de tissu. Direction les chiffons et je ne veux plus le revoir ailleurs ! »
Sa mère lui tendait la culotte et d’un coup de menton elle désigna la porte. Laure prit le sous-vêtement. Sa jupe n’était plus tenue que d’une main. Elle retomba d’un côté sur ses fesses, les dissimulant à moitié. Un moment d’affolement traversa les yeux de Laure. Sa mère considérerait-elle cette maladresse comme une désobéissance ? Laure se hâta de remettre sa jupe à sa place, bien haut au-dessus de ses fesses.
« C’est bien d’être aussi obéissante, commenta sa mère, ça t’évitera un grand nombre de fessées si tu continues comme cela. Tu peux laisser retomber ta jupe et faire ce que viens de t’ordonner. Je n’aurais aucun mal à la retrousser pour te donner la fessée, dès que tu seras revenue ici. »
Laure n’eut le temps que de faire deux pas vers la porte.
« Une seconde, tant que j’y pense. Autant faire d’une pierre deux coups. Jetons un œil sur ton soutien-gorge. Viens-ici ! »
Madame Talouet fit passer le pull que portait Laure par-dessus la tête de sa fille. Puis elle lui déboutonna le corsage et elle en écarta les deux pans. C’était un soutien-gorge en dentelles très ajouré, assorti à la culotte. Il avait un très large décolleté et les seins étaient visibles à travers les dentelles.
« J’en étais certaine. Pas mieux que la culotte. Qu’en pensez-vous, Clotilde ? »
Elle tourna sa fille face à sa belle-mère. Laure croisa ses mains sur sa poitrine, ce qui lui valut une claque sur les fesses.
« Laisse Clotilde voir ! »
Laure enleva ses mains et elle baissa la tête. Elle avait honte d’être exhibée poitrine nue devant sa belle-mère, mais elle avait encore plus honte de son choix de sous-vêtement. En pleine lumière, face à ces deux femmes mûres décemment habillées, il ne semblait pas convenir à une femme respectable, mais plutôt à une jeune fille de mœurs légères.
« En effet, je n’aimerais pas que ma fille porte ce genre de lingerie. Je comprends votre colère, Chantal.
– Je pense que ce soutien-gorge va prendre le même chemin que la culotte. Enlève-le ! »
Les choses n’allant pas assez vite à son goût, Madame Talouet s’en occupa elle-même. Elle ôta le chemisier, puis dégrafa le soutien-gorge et le fit glisser le long des bras de sa fille. Laure n’osait plus protéger sa poitrine nue. Elle sentait le regard de sa belle-mère qui s’y posait, inspectant la fermeté des mamelles qui s’étalaient sous ses yeux. Madame Talouet y posa ses mains, éprouvant leur tonicité. Elle réfléchit un instant, puis elle trancha.
« Tu n’auras pas besoin d’un autre soutien-gorge pour ce soir. Pour la suite, je verrai si je t’en remettrai un. »
Quand elle eut rhabillé Laure, celle-ci avait l’impression d’être encore à moitié nue. Ne pas avoir de dessous lui procurait la sensation de ne pas avoir de vêtements du tout. Elle avait pleinement conscience que du côté de ses fesses et de sa poitrine, il lui manquait quelque chose.
« Débarrasse-moi de cela ! »
Cette fois-ci fut la bonne. Elle put aller jusque dans le placard où elle entreposait un carton rempli de chiffons. Elle y plaça ses sous-vêtements bien au fond afin qu’ils ne soient pas utilisés, par mégarde, pour un usage ménager. Elle avait toujours espoir, le temps aidant, qu’elle pourrait les ramener à leur utilisation première.
Son ventre se noua quand elle pénétra de nouveau dans le séjour où sa mère et sa belle-mère l’attendaient. Cela faillit déclencher un pipi intempestif qu’elle retint à grand peine. Elle n’y avait pas pris garde jusqu’à maintenant, mais un passage urgent aux toilettes s’imposait. Elle hésita, mais elle ne pouvait en prendre l’initiative seule.
« Est-ce que je peux aller faire pipi, Maman ?
– As-tu vraiment envie ou bien c’est pour retarder le moment de ta fessée ?
– Oh non, Maman. Je ne peux plus me retenir plus longtemps.
– Si vous le voulez, Chantal, je peux accompagner Laure aux toilettes pour vérifier si elle fait réellement pipi. »
Laure n’en croyait pas ses oreilles. Non seulement elle avait dû demander l’autorisation d’aller aux toilettes, mais de plus on envisageait de l’y accompagner. Sa belle-mère voulait s’insérer dans un espace d’intimité où elle aurait préféré ne jamais la voir. Elle se sentait plus surveillée que si elle avait été une petite fille.
« C’est une excellente idées, Clotilde ! Emmenez donc cette donzelle faire pipi. »
Laure resta sans voix. Sa belle-mère la prit par le bras.
« En route ma chérie. Direction les toilettes ! J’espère que tu as réellement envie de faire pipi. »
Une petite claque sur les fesses accompagna cette demi-menace. Sa belle-mère se permettait des privautés qu’elle n’aurait jamais osées avant aujourd’hui. La promesse d’une future fessée y était contenue sans qu’on puisse s’y tromper. Cela apparaissait cependant tout à fait légitime et Laure ne pensait pas pertinent de s’en offusquer ouvertement. Elle refoula ses protestations.
Sa belle-mère la suivit dans les toilettes pourtant fort étroites. Elle la plaça devant la cuvette, souleva l’arrière de la jupe, puis elle l’assit sur les toilettes.
« Allons, c’est le moment de faire pipi ! »
Elle resta là à attendre, les bras croisés, montrant progressivement son impatience. Laure ne se remettait pas de la place que sa belle-mère s’était attribuée. Bien que sa vessie soit pleine à déborder, elle ne pouvait se résoudre à s’exécuter devant elle. Sa simple présence bloquait la miction. L’attente se prolongeait.
« Ce n’était apparemment pas si urgent que cela, dit sa belle-mère d’une voix sèche ! Je crois que je vais devoir sévir ! »
Laure comprenait parfaitement le raisonnement qui naissait dans la tête de sa belle-mère. La demande de passage aux toilettes n’était qu’un subterfuge pour retarder le moment de la fessée. C’était donc un mensonge et Laure n’avait pas de mal à en imaginer les conséquences : soit elle réussissait à faire pipi sur le champ, soit elle prenait une fessée que sa belle-mère semblait prête à lui administrer.
« Je crois que cette comédie a assez duré ! »
La terreur contracta les entrailles de Laure et le jet d’urine jaillit, long, interminable, puis il s’épuisa. Sa belle-mère avait gardé son air sévère.
« Il t’en a fallu du temps pour une chose aussi simple. Que de comédie ! Simplement parce que Madame ne voulait pas faire pipi en ma présence. Je ne sais pas ce qui me retient de te fesser ! »
Elle prit deux feuilles de papier au dérouleur.
« Mets-toi debout ! »
Laure n’eut pas vraiment le choix. Sa belle-mère la prit par le bras et elle la mit debout. Elle releva la robe, puis approcha de sa vulve, la main qui tenait les deux feuilles de papier toilette. C’en était trop pour Laure qui abaissa la jupe de ses deux mains, dissimulant son pubis.
« Je suis fatiguée de tes désobéissances ! »
Laure ne pouvait pas lutter physiquement avec sa belle-mère. Celle-ci mesurait une bonne quinzaine de centimètres de plus qu’elle et elle devait peser autant de kilos de plus. Laure eut l’impression d’une tornade qui la ceinturait, la faisait passer sous le bras de sa belle-mère. Son buste fut pris dans un étau dont elle ne pouvait de défaire. Elle n’eut pas le temps d’esquisser un mouvement avant que sa jupe ne fût relevée, laissant ses fesses à nu.
Laure resta inerte durant les quatre ou cinq premières claques. C’était des marques de feu qui s’imprimaient sur ses fesses. La fessée de sa mère avait été cuisante, mais celle de sa belle-mère s’annonçait redoutable. Au bout d’une dizaine de claques supplémentaires, Laure sut qu’elle ne pourrait en supporter plus.
Elle ne voulait pas être corrigée par sa belle-mère, qui n’en avait pas le droit. C’était déjà bien assez difficile d’être fessée, à trente-cinq ans, par sa mère et ses supérieurs hiérarchiques au travail, elle ne voulait pas que d’autres personnes puissent également la punir. Quitte à être ensuite punie plus sévèrement par sa mère, elle décida de ne pas se laisser faire.
Pendant que la fessée continuait, Laure tenta de desserrer l’étreinte qui la maintenait en place. Bien qu’elle utilisât ses deux mains, elle ne put faire bouger le bras de sa belle-mère, pas même d’un centimètre. Celle-ci ne semblait pas se rendre compte de la tentative de Laure de se dégager. La fessée se poursuivait, implacable.
Laura, désespérée par sa vaine tentative se mit à battre des pieds le plus énergiquement possible. Dans cet espace étroit, elle se cognait contre les murs, mais son attitude obligea sa belle-mère à réagir.
« Petite peste désobéissante, vas-tu te tenir tranquille ? »
Elle s’assit sur la cuvette des toilettes sans lâcher Laure qui tomba à plat ventre sur ses genoux. Elle écarta les cuisses, pour laisser les jambes de sa belle-fille tomber entre les siennes, puis elle referma ses genoux sur ceux de Laure. Cette dernière tenta une première ruade, puis une deuxième, mais elle était complètement immobilisée. Ses pieds avaient encore un peu de liberté, mais ses jambes n’avaient plus un centimètre de marge pour se mouvoir.
La main reprit son ouvrage sur les fesses de Laure qui protégea ses fesses en une dernière tentative désespérée. Laure ne put esquisser une défense quand sa belle-mère remonta son bras dans son dos, prenant le contrôle total de ses gestes. Plus rien ne s’opposait à ce que la fessée aille à son terme. Terme au sujet duquel Laure ne pouvait plus rien exiger. Sa belle-mère en avait la décision et elle n’était pas décidée à le voir arriver de suite.
Quand elle cessa de se débattre, Laure fondit en lourds s a n g lots. Elle savait qu’elle venait de perdre ce combat et que cela aurait des conséquences sur les fessées à venir de la main de sa belle-mère. Celle-ci venait de démontrer qu’elle pouvait la fesser, même si Laure ne l’acceptait pas. Cette fessée en appellerait des suivantes, certainement très nombreuses.
Laure sentit qu’on relâchait son bras plié dans son dos et que les genoux de sa belle-mère ne la serraient presque plus.
« Je ne veux plus que tu te débattes quand j’ai décidé de te fesser. Est-ce bien entendu ?
– Oui Madame, réussit à répondre Laure entre deux s a n g lots.
– Cela te vaudra une deuxième fessée à chaque fois que tu feras une colère alors que je te punis, comme celle que tu viens de piquer. Nous réglerons cela plus tard. Finissons d’abord celle-là ! »
La main qui s’abattit sur les fesses de Laure était toujours aussi lourde. Les pleurs de Laure redoublèrent, mais elle ne fit rien pour se soustraire à la correction alors qu’elle pensait, depuis un petit moment, qu’elle ne pourrait pas supporter une claque de plus.
« Bien, je vois que tu as compris que c’est moi qui décide quand tu dois avoir une fessée. C’est préférable pour toi car il y en aura d’autres. Relève-toi ! »
La belle-mère de Laure reprit le papier toilette qu’elle avait posé le temps de la corriger.
« Soulève ta jupe ! »
Laure en été m o r t ifiée, mais elle obéit. Défier sa belle-mère aurait des conséquences pour ses fesses qu’elle ne pouvait envisager. Elle eut cependant un geste de recul quand les doigts de sa belle-mère s’approchèrent de son pubis.
« Laure, gronda sa belle-mère ! »
Elle posa une main sur les fesses de sa belle-fille puis elle appliqua le papier sur la vulve de celle-ci. Laure ne pouvait plus bouger sauf à désobéir ouvertement. La crainte d’une nouvelle fessée fut la plus forte. Elle ferma les yeux et se laissa faire.
A sa grande surprise, sa belle-mère fit preuve d’une grande douceur. Elle tapota doucement les lèvres du vagin, essuyant les dernières gouttes d’urine. C’était même plutôt agréable après la cuisson provoquée par la main.
« Etait-ce donc si terrible ?
– Non Madame, dut convenir Laure.
– Est-ce que ça nécessitait un tel caprice ?
– Non Madame.
– Remets ta jupe à sa place et allons rejoindre ta Maman. Tu vas lui expliquer combien tu as été vilaine. »
Reprise en mains maternelle - chapitre 3
Poussée par sa belle-mère, Laure fit son entrée dans le séjour. Elle rougit en croisant le regard de sa mère devant laquelle sa belle-mère la conduisit.
« J’ai cru comprendre qu’une grande fille m’avait pas été sage. Qu’en dis-tu ? »
Laure aurait volontiers disparu dans un trou de souris, mais il n’y en avait pas de disponible à proximité. Qu’en dire ? Elle ne savait pas.
« Il me semble qu’il y a eu une grande fille qui a reçu une fessée ! »
Laure baissa la tête. Elle avait honte d’avoir été punie et honte que cela se discute ouvertement.
« Raconte à ta Maman pourquoi tu as été punie. »
Laure avait conscience que son mutisme ne tarderait pas à passer pour de la désobéissance, mais elle ne savait pas par où commencer.
« Dis à ta Maman pourquoi tu as été fessée. »
La claque sur les fesses la décida à parler.
« Je n’ai pas été sage avec Madame Martin.
– Madame Martin, releva sa belle-mère, je trouve que ça fait un peu trop guindé pour une grande fille à qui je donne la fessée. Il faut quelque chose de plus familier. Appelle-moi plutôt Maman Clotilde. Après tout, je suis un peu ta Maman depuis que tu as épousé Denis et moi je te considère comme ma fille, surtout maintenant que je te fesse quand tu en as besoin. »
Laure ne trouva rien de déplacé à cette nouvelle demande. La nouvelle relation d’autorité qui s’était instaurée justifiait une certaine familiarité. C’était même plutôt rassurant de savoir que sa belle-mère l’acceptait comme l’un de ses e n f a n t s.
« Cette jeune dame a cru bon de se retenir de faire pipi alors que je le lui ordonnais. J’ai cru au début qu’elle n’en avait pas envie, ce qui aurait été un mensonge flagrant. J’envisageais de la punir quand, après que j’ai dû la menacer d’une fessée, elle s’est décidée. Vous pensez bien, Chantal, que je n’étais pas très satisfaite de ce caprice.
– Vous avez donc décidé de la corriger ?
– Non, pas à ce moment-là. J’ai été très patiente.
– Ne le soyez pas autant une prochaine fois. Notre Laure a besoin d’être reprise en main. Je souhaite qu’on ne lui passe rien. Au moindre écart : une fessée !
– Ce n’est que quand elle m’en a fait un deuxième que j’ai dû sévir. Elle avait décidé de m’empêcher d’essuyer les dernières gouttes de pipi qui sortaient encore de sa fente. Là je dois avouer que j’ai vu rouge. Mais cette petite pimbêche s’est employée à m’empêcher de la punir comme elle le méritait. »
Le regard noir que lui jetèrent ses deux Mamans donna le frisson à Laure. Elle se rendait compte, mais un peu tard, qu’elle n’aurait pas dû se débattre. Dans le contexte de punition dans lequel elle était plongée, cela ne pouvait été admis. Il y aurait des conséquences.
« Tu es décidément très capricieuse et désobéissante ! Va mettre ton nez dans le coin vide et réfléchit bien à comment tu vas demander pardon à Clotilde. »
Ce fut un soulagement pour Laure de se retrouver au coin. Sa situation ne s’était pas beaucoup améliorée. Sa culotte baissée et sa robe retroussée exposaient ses fesses, mais c’était à deux personnes qui les avaient largement contemplées. Denis, l’autre personne à être au courant, était dans la même situation. Cependant, elle n’était plus au centre de l’attention, ni sous les regards inquisiteurs de ses deux Mamans. Certes, sa punition était loin d’être achevée, mais elle disposait d’un petit répit. Dans son dos, la conversation continuait.
Les deux mères tombèrent d’accord pour se féliciter de la méthode qu’elles avaient remise au goût du jour. La fessée avait donné des résultats remarquables en un temps ridiculement court. L’obéissance, aussi bien de Laure que de Denis, était redevenue la norme en une seule soirée.
« Je ne suis pas certaine, ajouta Clotilde, que cela durera sans fin si nous ne l’entretenons pas, mais nous sommes sur la bonne voie.
– J’ai bien peur que nos deux garnements nous donnerons bien d’autres occasions de les punir.
– A ce sujet, je dois encore quelques fessées à mon garçon : une pour avoir tenté de résister quand j’ai voulu le corriger, et l’autre pour sa désobéissance au coin quand vous êtes arrivés. Il va être temps que je m’y mette si je veux avoir fini avant ce soir.
– Vous n’oublierez pas celle que vous devez à Laure !
– Ah oui ! Celle que je dois à Laure. A ce sujet, j’espère que vous ne m’en voulez pas d’avoir pris l’initiative de la fesser sans vous avoir demandé votre autorisation.
– Vous pensez Clotilde ! Pas tant de manières entre nous ! Il est bien normal que vous fessiez Laure quand elle en a besoin. Comme vous le disiez tout à l’heure, vous êtes également sa mère. Une mère par mariage, mais une mère tout de même. C’est moi qui devrais vous remercier de prendre autant à cœur la correction des écarts de ma fille. Si elle en est là, c’est que j’en suis un peu responsable. J’ai dû être trop laxiste !
– Pensez-vous ! Regardez mon Denis ! Je ne crois pas que quiconque puisse dire que j’ai été coulante avec lui. Ses fesses doivent encore s’en souvenir ! Pourtant, il en est au même point que Laure. Pas mieux.
– Oui sans doute.
– Je crois que c’est notre sort à nous, les mères, de devoir constamment surveiller notre progéniture, quel que soit leur âge, et de nous sacrifier pour les remettre dans le droit chemin. Prenez-le comme un devoir maternel ! Je vais reprendre le collier pour éradiquer ces mauvaises habitudes qu’il a prises depuis qu’il a quitté le toit familial. Je ne le fais pas par gaité de cœur, mais je ne vois pas qui d’autre pourrait le faire.
– Vous êtes toujours de bon conseil, Clotilde. Je n’avais pas envisagé ma nouvelle relation avec ma fille sous cet angle, mais je crois que vous avez raison. Il est nécessaire qu’elle trouve en face d’elle un front uni de ses deux Mamans. Je vous remercie donc de bien vouloir la surveiller quand elle est dans votre proximité et de ne pas hésiter à la fesser quand vous jugez son comportement inadéquat. »
Dans son coin, Laure accusa le coup. Elle avait déjà compris que la première fessée reçue de la part de sa Maman ne serait que la première d’une longue série. Il y en avait, d’ores et déjà, d’autres en préparation. Maintenant elle savait que sa belle-mère ne tergiverserait plus malheureusement, celle-ci était bien plus exigeante que sa propre mère. Cela lui promettait des moments difficiles.
« Je pense que ce front uni que nous constituerons alors sera bénéfique à nos deux garnements. Naturellement, je compte sur vous pour corriger Denis quand vous le jugerez nécessaire.
– Vous croyez que …
– Absolument, la coupa Clotilde ! Je n’ai pas de doute sur le sujet. Vous comprenez bien que d’une part si je dois fesser Laure, la réciproque est obligatoire. D’autre part, imaginez ce que va ressentir Denis quand vous le déculotterez pour le fesser. Autant, quand c’est moi qui le ferai, il peut se raccrocher à des souvenirs d’e n f a n c e , autant quand ce sera vous, Chantal, la honte d’être puni quand ce sera par sa belle-mère, sera à son comble. Je compte sur cela pour qu’il soit plus attentif à son comportement.
– Vous avez encore raison ! Je vois bien comment, en les fessant tous les deux, indifféremment l’une et l’autre, nous contribuerons bien plus efficacement à éradiquer leurs attitudes détestables. Je fesserai donc Denis quand il en aura besoin. Soyez tranquille, je n’y manquerai pas.
Ce fut au tour de Denis qui avait suivi toute la conversation avec inquiétude, de manquer de s’étrangler. Il eut un fort sentiment d’indignation qui s’empara de lui, pour redescendre aussitôt. La logique de sa mère, et maintenant de sa belle-mère, était implacable. Qu’avait-il à opposer au devoir maternel qui venait d’être évoqué ?
Une conclusion s’imposait : Laure et lui s’étaient mis d’eux-mêmes dans cette situation. Cela faisait plusieurs mois qu’il regardait avec inquiétude la vie qu’ils menaient tous les deux depuis qu’ils habitaient ensemble : dépenses inconsidérées, exigences minimales, rythme de vie déstructuré, … Il avait souvent vu le couple qu’il formait avec Laure, comme deux a d o l es c e n t s profitant sans limite d’une liberté récemment conquise.
Jusqu’à ce soir, il ne voyait pas comment sortir de cette situation. Laure partageait son inconfort quant à cette situation. Il en était certain. Elle ne le lui avait pas dit ouvertement, mais il l’avait senti à plusieurs petites réactions d’inquiétude qu’elle avait manifestées.
L’initiative de sa mère, qui s’était traduite par la reprise durable des fessées de son e n f a n c e , était loin de le satisfaire, mais c’était une façon de sortir de l’impasse dans laquelle il se sentait enfermé. Il s’en serait contenté si cela avait pu rester entre sa mère et lui. Maintenant, ça allait beaucoup plus loin. Le régime disciplinaire auquel il était soumis devait public. Au-delà de sa mère, Laure et sa belle-mère avaient pu constater comment il avait été puni et maintenant il fallait qu’il se prépare à être fessé par sa belle-mère. Il n’arrivait pas à la concevoir, … et pourtant ! Comment l’éviter maintenant que sa mère l’avait entériné ? Il ne se voyait pas s’opposer à elle et puis … il avait besoin d’elle et de son autorité. Où cela s’arrêterait-il ?
« Puisque nous en parlons, je pense que les fesses de Denis ont suffisamment récupéré pour supporter une deuxième correction. Si vous le voulez bien, je vais la lui administrer maintenant.
– Bonne idée ! Je vais faire de même avec Laure. Il faut que je la puisse sévèrement suite à ce qu’elle a fait au travail aujourd’hui. Je m’y suis engagée auprès de la cheffe du magasin, Madame André.
– Une fessée de concert ! Cela mettra les choses au point ! Allons-y »
Clotilde prit son fils par l’oreille.
« Suis-moi ! »
Il n’avait pas vraiment le choix. Il dut avancer courbé afin de soulager la douleur venant de son pavillon auriculaire. Il fit les premiers pas, attentif à bien marcher au rythme de sa mère, malgré le pantalon qui entravait son déplacement. C’est quand il vit s’avancer, face à lui, Laure tenue de la même façon que lui par sa propre mère, qu’il se rendit compte de l’image qu’il donnait de lui.
Laure avançait le cou tordu en un angle improbable pour suivre au plus près les mouvements de la main de sa mère. Ses mains maintenaient sa jupe relevée au-dessus de sa taille. Sa culotte, entourant ses genoux, l’obligeait à adopter une démarche pataude. Ses parties génitales étaient exposées à la vue de tous. Denis, pourtant habitué à les contempler, les voyait sous cet angle pour la première fois. Il eut de la peine à reconnaître le sexe de sa femme.
Laure, habituellement plutôt pudique ne se déplaçait jamais nue dans leur appartement. En dehors des préludes amoureux, elle ne s’exposait pas aux regards, y compris celui de son mari. Dans l’instant, sa tenue, bien que faisant fi de sa pudeur, lui était indifférente. Elle suppliait sa mère, toute à la fessée qui se préparait.
« Non Maman, non, pardon, pas la fessée, s'il te plait, non ! »
Ce n’était pas une femme d’âge mûr qui avançait sans résister à la volonté de sa mère, elle n’en avait ni la tenue ni l’attitude et elle ne prêtait aucune attention aux autres spectateurs de la scène. Ce n’était pas non plus une petite fille, son corps développé et sa pilosité ne permettaient pas de le supposer, pourtant le désintérêt général à la vue de ses parties génitales le laissait penser.
Denis avait conscience qu’il était dans la même situation. Il visualisa ses fesses nues, son sexe qui balançait de droite à gauche au gré de ses pas, sa démarche claudicante, mais également du peu d’attention que les autres y portaient, y compris sa belle-mère à qui il exposait son intimité pour la première fois. Il fut assailli d’une bouffée de pudeur et de honte mêlées.
« C’est un cauchemar, pensa-t-il ! Je ne peux pas me trouver fesses nues, traversant mon appartement en présence de trois personnes, me préparant à recevoir une fessée. Je vais me réveiller ! »
Il ralentit un court instant, mais sa mère poursuivit son chemin.
« Avance ! S’il faut que je te traîne par l’oreille jusqu’au lieu de ta punition, cela ne pose pas de problème ! »
Elle accentua un peu le pinçon, la douleur le contraignit à suivre la main qui le tenait. Non, décidément, il ne rêvait pas. C’était bien réel. Pas moyen de se réveiller pour échapper à sa situation. Un regard de sa belle-mère vers ses attributs masculins fit s’empourprer son visage.
« Je ne peux être vu dans une posture aussi humiliante. »
Il plaça ses deux mains devant son sexe, conscient de la futilité du geste. Sa chemise qui n’était plus tenue, tomba sur ses fesses. Sa mère n’apprécia pas cette pris de liberté intempestive. Elle s’arrêta, courba Denis sous son bras, releva elle-même la chemise et elle claqua les fesses nues jusqu’aux premiers cris de son fils. Cela ne mit pas longtemps.
« A moins que tu ne tiennes à ce que cette fessée dure, tu vas relever ta chemise et cesser cette comédie de la pudeur outragée. Il n’y a que celle des adultes qui peut l’être. Et toi, tu seras traité comme une grande personne quand tu te comporteras comme on doit le faire quand on est responsable. Pas avant ! Pour le moment, le compte n’y est pas, loin de là ! Pense-y à chaque fois que nous devrons te baisser la culotte ! »
La fessée reprit brièvement et Denis, sans cesser ses plaintes, releva les pans de sa chemise, autant qu’il pouvait dans cette position.
« Il va bien falloir que tu t’habitues à être déculotté en présence d’autres personnes. Ni Chantal ni moi n’avons l’intention d’attendre d’être dans un endroit privé pour te baisser la culotte et te punir. Tout cela se passera là où tu l’as mérité et devant les personnes présentes à ce moment-là, quelles qu’elles soient. Et ce sera pareil pour Laure. »
La jeune femme ainsi interpellée eut un hoquet de surprise ou d’indignation. Denis et elle commençaient à comprendre où leurs mères les entraînaient. Aucun des deux ne prenait les propos qui venaient d’être prononcées pour des paroles en l’air. Quelques claques virent confirmer le sérieux de la déclaration.
« J’espère que c’est bien rentré dans ta petite tête et que ça y est inscrit profondément ! »
Elle relâcha Denis qui s’empressa de relever correctement sa chemise. Il n’avait plus de velléités de pudeur mal placée. L’obéissance était une obligation qu’il devait observer scrupuleusement.
Laure était déjà allongée en travers des genoux de sa mère. La fessée avait retardé Denis et sa mère. Pourtant il ne tarda pas à être placé dans la même position que sa femme. Il ferma les yeux. S’il avait un souvenir ancien, donc probablement déformé, des fessées qu’il avait reçues étant e n f a n t , celle de cet après-midi s’était inscrite en marque de feu sur son postérieur. Si la douleur avait disparu, la représentation qu’il en avait en faisait un souvenir brûlant.
« Clotilde, il me semble qu’il faille une fessée exemplaire pour ces deux garnements. Je crois avoir ce qu’il faut. Relève-toi, Laure ! »
Interrogative, Laure reprit une position verticale. Sa mère se leva et elle sortit de la pièce. Elle revint, une petite minute plus tard. Elle tenait dans sa main une ceinture qui appartenait à Denis et une brosse de bain.
« Je crois que j’ai ce qu’il faut pour leur donner la leçon qu’ils méritent. Laquelle voulez-vous ? »
Clotilde hésita un court instant.
« Vous avez raison. Il ne faut pas que ces deux irréfléchis pensent s’en sortir avec une petite fessée. Il leur faut quelque chose d’exemplaire. Donnez-moi la ceinture ! »
Denis esquissa un geste pour se relever. Une sonore claque sur les fesses le dissuada d’aller plus loin.
« Non Maman, non ! Pardon, pas la ceinture !
– Ah, je vois que tu as encore quelques souvenirs de ce que peut provoquer une ceinture correctement appliquée sur des fesses nues. Vérifions si je sais faire aussi bien qu’il y a quelques années ! »
Clotilde enroula l’extrémité de la ceinture autour de sa main afin d’en raccourcir la longueur. Sur ses genoux, Denis s’agitait, mais il ne tentait plus de quitter la position dans laquelle sa mère l’avait placé. Ses pieds se croisaient et se décroisaient, fléchissaient puis s’étendaient en des mouvements qui ne cessaient pas. Ses mains pétrissaient le tissu du canapé. Son angoisse était palpable. Il suppliait d’une voix étouffée, mais il était clair qu’il n’en attendait aucun effet.
Clotilde prit un peu d’élan et elle appliqua la ceinture à plat sur les fesses de son fils, les barrant d’une trace qui vira instantanément au rouge. Le bruit n’avait pas été impressionnant. La réaction de Denis l’était. Le hurlement qu’il poussa exprimait un désespoir profond. Puis, il fondit en s a n g lots. A peine s’il accusa le deuxième coup. Seul un cri plus fort annonça qu’il avait produit l’effet annoncé. Puis la ceinture, vigoureusement maniée par Clotilde, tomba comme un métronome sur les fesses sur lesquelles elle laissait à chaque fois une marque sombre.
Laure et sa mère étaient restées immobiles, spectatrice horrifiée pour l’une et fascinée pour l’autre par les effets de la correction.
« Voyons si je sais faire aussi bien ! »
La Maman de Laure la prit par le bras et elle l’amena avec elle tandis qu’elle s’asseyait sur une chaise. Elle guida sa fille à plat-ventre en travers de ses genoux, l’ajusta légèrement pour lui faire prendre une position convenant à l’exercice qu’elle projetait. Elle releva la jupe, découvrant les fesses de Laure auxquelles elle allait consacrer toute son attention pendant les minutes à venir.
Elle soupesa la brosse puis elle la posa sur le sommet du postérieur qui gisait sur ses genoux. Elle éprouva la longueur du manche, se doutant que le bras de levier qu’il constituait faisait d’une fessée administrée avec un tel ustensile, une correction redoutable. C’était exactement ce qu’elle souhaitait. Il fallait marquer le coup afin que Laure soit plus exigeante quant à la propreté de sa tenue de travail, sans compter la nécessité de son obéissance, surtout quand des personnes ayant autorité sur elle avaient décidé de la fesser. C’était sa responsabilité de mère. Elle entendait l’assumer.
« Je crois qu’il est temps de te punir de tes négligences et désobéissances au travail. Dorénavant, je doublerai à la maison les fessées que tu recevras au travail. Et il n’est plus question que tu empêches quiconque de te fesser quand tu l’auras mérité. Surtout pas Maman Clotilde !
Elle posa la brosse sur le sommet des fesses de Laure. A ce contact, celle-ci contracta ses fesses pendant un long moment.
« Interdit de te débattre, pas de main pour protéger tes fesses. Je veux que tu profites des fessées pour réfléchir aux conséquences de tes écarts. Sois contente d’avoir trouvé autour de toi des personnes qui prennent le temps de te corriger. Bien que tu aies trente-cinq ans, tu en as le plus grand besoin. Est-ce bien compris ?
– Oui Maman, répondit Laure d’une voix tremblante.
– Alors allons-y ! »
Laure n’avait aucune idée des ravages que pouvait provoquer une brosse utilisée sans retenue sur des fesses nues. Cette lacune fut comblée en quelques secondes. Elle s’étrangla en avalant sa salive de travers, avant de réussir un pousser son premier cri. Malgré l’envie qui la taraudait, l’interdit de sa mère fut le plus fort. Elle arrêta à mi-chemin le geste de son bras pour couvrir ses fesses de sa main. Elle ne put empêcher la sarabande folle à laquelle se livraient ses jambes. Sa mère ne lui en fit pas le reproche.
Laure n’avait plus aucune idée de ce qui se passait autour d’elle. Il lui semblait que le monde venait de se réduire à l’emplacement sur ses fesses où sa Maman venait d’appliquer la brosse. Il y avait alors un éclair intense de douleur qui se prolongeait par une brûlure qui ne cessait de devenir toujours plus incandescente, la fessée durant, et qui s’étendait progressivement à la totalité de son postérieur.
Laure et Denis mêlaient maintenant leurs cris. Ceux de l’un surpassaient ceux de l’autre quand la ceinture ou la brosse s’abattaient, mais il était souvent difficile de les distinguer, si ce n’est que ceux de Denis étaient un plus graves, même s’ils montaient souvent dans l’aigu.
Clotilde et Chantal se regardèrent. Elles échangèrent un léger signe de tête approbateur. Chacune appréciait la détermination de l’autre. La connivence qui s’était instaurée plusieurs mois auparavant quand elles avaient commencé à échanger sur la nécessité d’intervenir dans la vie de leurs e n f a n t s, sortirait renf o r c é e de cette soirée. Chacune savait qu’elle pouvait maintenant faire confiance à l’autre pour instaurer la discipline dont Denis et Laure avaient besoin. L’une comme l’autre étaient confortées dans leur certitude de contribuer au bien de leur e n f a n t . C’était gratifiant.
Clotilde mit fin la première à la fessée quand toute la peau du postérieur de son fils fut couverte de marques laissées par la ceinture. Chantal continua un peu. Elle estimait ayant commencé en retard, il était normal qu’elle continuât afin que les deux fessées aient la même durée.
Les claquements des instruments se turent. Le contraste était saisissant. Clotilde et Chantal reprirent leur souffle. Donner une fessée était un exercice physique dépensant une énergie qui était loin d’être négligeable. Le silence était encore perturbé par les s a n g lots étouffés des deux punis.
« Je ne sais pas pour la vôtre, mais le mien a les fesses bouillantes.
– Laure également. Je crois que ces fessées seront dissuasives ! »
Elles avaient posé leur main sur le postérieur de leur e n f a n t . C’était une douce caresse dont Denis fut reconnaissant à sa mère et cela calma les plus gros s a n g lots de Laure.
« Laissons-les refroidir au coin et y réfléchir aux avantages certains que présente l’obéissance ! »
Clotilde et Chantal, fières du bon travail accompli, s’accordèrent un petit jus de fruit accompagné d’un gâteau, tandis que Laure et Denis se tenaient immobiles dans leur coin.
Reprise en mains maternelle - chapitre 4
Clotilde et Chantal sirotaient leur jus de fruit autour de la table basse. Laure et Denis se tenaient silencieux dans leur coin. Les marques de la dernière fessée étaient encore largement visibles. L’heure était à l’organisation.
« Dites-moi Chantal, il serait nécessaire que nous nous organisions afin de garder un œil le plus souvent possible sur ces deux garnements.
– Je peux passer régulièrement ici et surveiller ce qu’ils font. S’ils ne savent pas quand je passerai les voir, ils devront respecter nos règles en permanence. Avec la promesse d’une fessée au moindre écart, ils devraient faire attention.
– Effectivement. Pour ma part, je surveillerai leurs dépenses. Ils vont me donner accès, tous les deux, à leurs informations bancaires en ligne. Ils devront me demander l’autorisation préalablement à tout achat. De plus, ils passeront la plupart des week-ends chez moi. Des séjours réguliers à la campagne sous ma férule leur feront le plus grand bien. Je pourrai entrer dans les détails de leurs comportements et les modifier à ma guise.
– Ne pensez-vous pas qu’il faudrait également contrôler leurs sorties ? Je pense qu’elles sont trop nombreuses et trop tardives. Ils font bien trop souvent la fête. Ils sont en permanence en manque de sommeil. Cela nuit à la qualité de leur travail.
– Vous avez raison. A compter d’aujourd’hui, plus de sorties le soir sans l’autorisation explicite de l’une de nous, quelle qu’en soit la raison. Je propose que nous les limitions à une par mois.
– Pas plus ! Avec un retour à la maison pas après minuit ! »
Denis gémit discrètement, mais pas assez pour sa mère.
« Oui, Denis, as-tu quelque chose à dire ?
– Non Maman.
– Y a-t-il un aspect de ce que nous avons dit qui ne te va pas ?
– Non Maman.
– Je préfère cela. De toute façon, maintenant ce n’est plus toi qui décides de toutes ces choses. Il te suffira d’obéir aux règles que nous fixerons. Tu sais ce que tu risques en cas de désobéissance ?
– Oui Maman.
– Encore une chose : la prochaine fois que j’entends le moindre bruit de ta part alors que tu es au coin, ce sera la fessée. Pas de gémissement, ni de raclement de gorge et encore moins de parole, est-ce clair ?
– Oui Maman.
– Je ne laisserai pas passer la prochaine fois que tu te mêles de la conversation des grandes personnes sans y avoir été invité. Silence, maintenant ! Je ne veux plus t’entendre. »
Denis enfonça son nez plus profond dans l’angle de la pièce. Il était passé tout près d’une nouvelle fessée. Il espérait portant en avoir fini avec les corrections pour ce soir. Ses fesses le lançaient encore alors que cela faisait de longues minutes qu’il était au coin. La conversation qu’il avait involontairement interrompue, reprit sans plus lui prêter attention.
« Il faudra que nous communiquions régulièrement entre nous afin de nous tenir réciproquement au courant des punitions et des autorisations que nous leur donnerons.
– Pas de souci avec nos portables, un message, un SMS et le tour est joué.
– Nous devrions réussir à leur imposer une vie stable, avec des horaires réguliers, et sans se laisser emporter par des pulsions incontrôlables, en particulier en ce qui concerne leurs achats. Désormais ce ne seras plus que le strict nécessaire. Je fais le pari que leurs finances vont se rétablir en quelques mois.
– Leur vie va changer et que de soucis en moins pour moi ! »
Chacune resta perdue un petit moment dans ses pensées, imaginant les nouvelles habitudes de leurs e n f a n t s qu’elles contribueraient à instaurer, mais également l’étendue de la responsabilité qu’elles prenaient.
« Il reste un point que nous devrions régler dès maintenant, reprit Clotilde.
– Dites-moi.
– J’ai eu l’occasion de fesser votre fille tout à l’heure. Cela n’a pas été sans mal, mais je pense qu’elle a compris et que ce sera plus facile la prochaine fois. Je ne voudrais pas qu’elle recommence et que je doive l’en punir une nouvelle fois.
– Oh, je crois qu’elle a compris qu’elle devait vous obéir comme à moi, même si ça ne la réjouit pas beaucoup.
– Probablement ! J’aimerais vérifier qu’il en sera de même pour Denis.
– Pensez-vous que je pourrais rencontrer les mêmes difficultés avec lui ?
– Je n’en sais rien, mais il est préférable de s’en assurer dès maintenant. Si je suis présente quand vous le fesserez la première fois, je pense qu’il n’osera pas se rebeller. Ensuite, c’est une question d’habitude. Quand il sera acquis que vous avez toute légitimité pour le punir en n’importe quelle circonstance, cela se fera tout seul.
– Oui, il sera préférable qu’il me laisse faire. Je ne pourrai pas recourir à ma supériorité physique pour l’y contraindre. Elle se situe plutôt dans l’autre sens.
– Je vous propose donc de lui faire prendre de bonnes habitudes dès maintenant. J’ai une désobéissance alors qu’il était au coin en réserve. C’est vous qui allez l’en punir.
– Parfait ! Afin de conserver l’égalité entre nos deux tourtereaux, voulez- vous corriger Laure pour la sienne en même temps ?
– Une bonne fessée à la main, terminée par la brosse en ce qui vous concerne et la ceinture pour moi. Cela vous va ?
– C’est d’accord, mais informons tout d’abord ces deux e n f a n t s des mesures que nous avons prises. »
Clotilde et Chantal prirent place, côte à côte, sur le canapé.
« Venez-ici tous les deux ! »
Laure et Denis, en se retournant, croisèrent leurs regards. Ils baissèrent la tête tous les deux en même temps. Que l’autre se retrouve dans la même situation ne diminuait en rien la honte ressentie. Ils se mirent en marche pour rejoindre leur mère et leur belle-mère. Denis laissa tomber légèrement sa chemise en se déplaçant.
« Denis, tu caches tes fesses ! Nous ne t’en avons pas donné l’autorisation. »
Il rectifia sa position aussitôt, dégageant le bas de son corps bien au-dessus de sa taille.
« Ici, lui ordonna Chantal ! »
Elle montrait de son index le sol devant elle. Denis hésita si peu pour se conformer à l’ordre de sa belle-mère, que cela ne fut pas perceptible. Naturellement, Laure se plaça à son côté, face à sa belle-mère. Ils fermèrent tous les deux les yeux afin de ne pas voir, dans le regard des deux personnes qui leur faisaient face, les signes de leur déchéance.
« Pas de ça, tous les deux ! Chantal et moi avons besoin d’être certaines que vous entendez bien et que vous compreniez bien ce que nous avons à vous dire. Regardez-nous et je n’accepterai aucune dérobade ! »
Ce n’était pas facile de conserver une considération de soi tout en maintenant ses vêtements au-dessus de ses reins alors que sa culotte est baissée et qu’on se trouve face à sa belle-mère, lui laissant pleine vue sur son intimité. Laure et Denis cherchaient une contenance, mais elle ne pouvait être trouvée en tant qu’adulte. Ils se sentaient comme des e n f a n t s punis, ce qui n’était pas si loin de la vérité.
« Chantal et moi, nous vous exercerons dorénavant une surveillance étroite sur tous vos faits et gestes. Le respect des règles que nous vous imposons, ne souffrira aucune exception. Chaque fois que vous vous en affranchirez ou à chaque fois que votre comportement ne correspondra pas à ce que nous attendons de jeunes gens responsables, ce sera la fessée. »
Laure et Denis avait compris depuis un petit moment qu’ils seraient soumis à ce type de régime disciplinaire, mais c’était autre chose de l’entendre énoncer de façon aussi explicite.
« Clotilde et moi, poursuivit Chantal, déciderons quand il est nécessaire de vous punir. Nos en choisirons le lieu et le moment, mais, en général, ce sera sur le champ. Sachez bien que la présence de témoins ne nous arrêtera pas. A vous de veiller, dans ces circonstances, à ne pas commettre d’écarts que nous devrons sanctionner. »
Clotilde et Chantal énumérèrent les dispositions qu’elles avaient prises. Surveillance, sorties, dépenses, tout y passait. Ce n’était pas une nouveauté ni pour Laure ni pour Denis puisqu’ils l’avaient perçu alors qu’ils étaient encore au coin. Par contre, l’entendre dans la position dans laquelle ils étaient et dans cette tenue, donnait un caractère solennel et irrévocable à cette déclaration. C’était ce à quoi voulaient arriver les deux Mamans.
« Chantal et moi avons considéré qu’il était important que vous sachiez obéir indifféremment à l’une de nous ou à l’autre. En ce qui concerne la Maman de chacun, cela semble acquis. Laure, tu as déjà reçu une bonne fessée de ma part, mais il serait nécessaire que tu confirmes ton obéissance, ce qui n’a pas été le cas la dernière fois. Quant à toi, Denis, tu dois faire la preuve de ton obéissance à ta belle-mère. »
Ils savaient tous les deux où ce long préambule les mènerait, chacun en travers des genoux de la mère de son conjoint. Il n’y aurait même pas besoin de les déculotter, puisqu’ils l’étaient déjà. Chacune attrapa par le bras qui son gendre, qui sa bru, pour les amener sur son côté, à ses pieds.
Denis eut une pointe de résistance quand sa belle-mère voulut le basculer en travers de ses genoux. Elle f o r ç a un peu sur le bras qui se dérobait et Denis suivit l’injonction, sans aller plus loin dans sa résistance. Il se retrouva allongé sur des genoux inconnus, mais la position lui était familière. Il osa son buste sur les coussins du canapé. La brosse touchait presque son visage. Elle était à portée de la main de Chantal, prête à servir.
Bien que son genre soit plus lourd qu’elle, Chantal trouva la position confortable et facile à tenir. Elle appuya son bras sur le dos de Denis, lui signifiant ainsi l’interdiction de bouger. Il s’y conforma. La position était facilitante. Elle permettait de maîtriser un corps en lui ôtant la plupart de ses appuis indispensables pour sortir de la situation. Mais elle n’y aurait pas suffi s’il n’y avait eu l’autorité dont elle disposait sur son gendre. La fessée à venir ne ferait que la renf o r c e r.
Laure se laissa faire. Elle avait déjà tenté de s’opposer à la volonté de sa belle-mère, les résultats n’en avaient pas été probants. Il était évident, pour toutes les deux, que sa belle-mère pouvait la contraindre à recevoir la fessée à chaque fois qu’elle le déciderait. Elle en avait fait la démonstration. Laure avait compris que toute tentative pour s’y dérober, engendrerait une nouvelle punition. C’était d’ailleurs pour cette raison qu’elle en avait une en suspens, qu’il lui faudrait solder tôt ou tard.
Du coin de l’œil, elle aperçut la ceinture posée à côté de sa belle-mère, prête à l’emploi. La perspective de son utilisation proche, comme cela lui avait été annoncé, fit monter une boule d’angoisse qui lui serra les entrailles et qui aurait provoqué un pipi sur place qu’elle aurait eu du mal à retenir, si sa vessie n’avait pas été vide. Elle répondit à la pression sur son bras et elle s’allongea en travers des genoux de sa belle-mère.
Sur des fesses qui avaient subi la brosse pour les unes et la ceinture pour les autres moins d’une petite heure auparavant, la main suffisait pour provoquer un échauffement conséquent quasi immédiatement. Denis et Laure éprouvèrent en quelques dizaines de secondes, une sensation de brûlure intense équivalente à celle que leurs postérieurs avaient gardée en mémoire.
Le concert de cris, rythmé par les deux mains claquant sur les fesses nues, remplit l’espace sonore de la pièce. Sans doute quelques voisins attentifs auraient trouvé ce bruit étrange s’ils avaient écouté attentivement. Aucun ne vint s’en plaindre. Les s a n g lots, bien moins bruyants que les clameurs que poussaient Denis et Laure, tempérèrent un peu ce vacarme.
Dans la même seconde, Clotilde et Chantal s’arrêtèrent. Elles s’étaient concertées et avaient décidé de passer à la phase suivante. Denis pensa que cette pause était une bonne idée. Il déchanta très vite en songeant à ce qu’elle annonçait. Chantal s’était emparée de la brosse. Elle la tenait prête au-dessus du postérieur de son gendre, attendant que Clotilde soit prête. Celle-ci prenait le temps d’entourer la ceinture autour de sa main afin que son extrémité soit à la bonne longueur pour tomber bien au milieu des fesses de Laure. A son tour, Laure prit conscience de ce qui se préparait. Elle se mit à gémir plaintivement.
Les éclats reprirent dès que les instruments punitifs furent mis en action. Il s’agissait maintenant d’exprimer le repentir et de promettre de s’amender, tout ce que voulaient leur belle-mère pourvu qu’elle mît fin au châtiment.
Clotilde et Chantal se regardaient, approuvant ce que l’autre faisait. Elles n’avaient pas le moindre doute à propos de ce qu’elles faisaient. Leurs e n f a n t s, mêmes grands, prendraient les comportements qu’elles leur dicteraient, donc de bonnes habitudes. Leur donner la fessée était une sacrée idée qu’elles n’avaient pas l’intention de lâcher de sitôt.
D’un signe de tête, elles convinrent que la fessée avait assez duré. Un dernier claquement de la brosse sur les fesses, une dernière application de la ceinture et seuls les pleurs des deux punis rompaient encore le silence. Cela dura encore quelques minutes.
Chantal réajusta les vêtements de Denis, redressant sa culotte qui, au gré de ses mouvements désordonnés, était maintenant de travers. Puis elle remonta un peu la chemise pour dégager le bas du dos. Puis elle posa sa main sur le haut de la cuisse en la tapotant doucement.
Clotilde caressait doucement les fesses de Laure.
« Là, là, c’est fini pour ce soir. Tu as été obéissante pendant ta fessée. C’est bien ! »
Elles laissèrent les pleurs se calmer un peu. Laure et Denis restaient allongés sur les genoux de leur punisseuse. Aucun des deux n’aurait osé prendre l’initiative de se relever avant d’en avoir reçu l’autorisation. A ce moment-là, leur niveau d’obéissance était au plus haut.
« Debout mon vilain garçon et ma vilaine fille ! Vous allez finir la soirée au coin ! »
Il n’y eut pas de discussion, pas d’hésitation. Chacun regagna l’angle de la pièce d’où il était parti.
Clotilde et Chantal restèrent silencieuses pendant un petit moment. Elles contemplaient le résultat de leur travail avec le sentiment du devoir accompli.
« Je ne sais pas, commença Clotilde, si vous pouvez rester plus longtemps, mais il va falloir que j’y aille.
– Peut-être encore quelques minutes, mais je vais également devoir regagner mon appartement.
– C’est dommage, ces deux-là auraient pourtant eu besoin de rester à réfléchir un bon moment au coin.
– Oui, y passer la soirée n’aurait pas été de trop.
– Je ne leur fais pas confiance pour y rester. Dès que nous aurons tourné le dos, ils le quitteront. Regrettable ! »
Aux mimiques qu’elles faisaient, on voyait que la situation de leur convenait pas du tout.
« Il y aurait peut-être une solution, risque Chantal.
– Dites !
– Il faudrait trouver une personne qui puisse les surveiller. Quelqu’un à proximité.
– Oui, il faudrait, mais qui ? On ne va tout de même pas louer les services d’une baby-sitter !
– Non, bien sûr ! Mais je crois que j’ai une idée. »
Chantal sortit de la pièce. Clotilde l’entendit refermer la porte de l’appartement derrière elle. Elle ne s’absenta que quelques minutes.
« Entrez donc Madame Caroni ! »
Denis et Laure tendirent tous leurs muscles au point de presque les tétaniser. Une voix criait dans leur cerveau de quitter le coin et de se couvrir les fesses au plus vite, mais la présence de Clotilde suffit à les empêcher de répondre à cette nécessité impérieuse.
Madame Caroni était leur voisine de palier. C’est l’archétype de la Mama italienne qui ne se gênait pas pour les abreuver de conseils inutiles. Elle avait approximativement l’âge de leurs mères et elle leur faisait savoir sans détours inutiles quand quelque chose ne lui avait pas plu dans les façons de faire de ses deux voisins. Elle s’était apparemment donné pour rôle de colporter toutes les nouvelles du coin. Sans le vouloir, tout le monde était au courant des petites affaires du voisinage. Croiser Madame Caroni dans le hall de l’immeuble suffisait.
Laure et Denis l’avaient tenue à distance. Ils avaient senti qu’elle pourrait devenir envahissante. C’était donc la première fois qu’elle entrait chez eux et elle allait les trouver au coin, les fesses nues encore rougies de leur récente fessée.
« Ah, voici donc les bambini qui n’ont pas été sages ! »
Madame Caroni venait de pénétrer dans le séjour.
« Oh je vois qu’ils ont eu une bonne fessée ! »
Laure et Denis crurent qu’ils allaient mourir de honte sur place.
« Buongiorno, signora ! Vous êtes la Maman de Denis ?
– C’est cela même. Enchantée de vous rencontrer. Désolée que ce soit dans ces circonstances qui vous obligent à voir ces deux gredins en pleine punition.
– Ne vous inquiétez pas pour cela. J’ai vu bien d’autres e n f a n t s les fesses nues après avoir reçu une fessée ! Ceux-là sont juste un peu plus âgés que ceux dont j’ai l’habitude, mais il semble que la correction ait produit les mêmes effets sur ces deux-là que sur les plus jeunes.
– Comme je vous le disais à l’instant, nous avons dû prendre des mesures drastiques pour remettre ces drôles dans le droit chemin.
– Je comprends. Ce n’est pas parce qu’ils ont un peu grandi qu’une bonne fessée de leur Mama ne leur fait pas du bien. Au contraire !
– Je suis ravie que vous voyiez les choses de la même façon que nous. Je crois que nous avons trouvé la bonne méthode. C’est justement là où vous pourriez nous tirer une épine du pied.
– Vous savez, je suis toujours prête à rendre service.
– C’est l’impression que vous donnez. Voici ce que je vous propose. »
Denis ferma les yeux et Laure referma les poings, faisant pénétrer ses ongles dans la peau de la paume de ses mains, tout en sachant, l’un comme l’autre, que cela ne les empêcherait pas d’entendre ni qu’une proposition dont ils n’attendaient rien de bon, soit faite à Madame Caroni.
« Laure et Denis vont devoir passer pas mal de temps au coin dans les jours qui viennent.
– Les jours qui viennent, l’interrompit Clotilde, vous êtes bien optimiste. Je pense que revenir sur toutes leurs mauvaises habitudes prendra bien plus longtemps.
– Vous avez raison Clotilde, nous serons certainement contraintes de faire durer les mesures disciplinaires au-delà de quelques jours. Il faut mieux se mettre dans la tête que nous en avons pour plusieurs mois.
– Rien d’anormal à cela, approuva Madame Caroni.
– Comme ni Clotilde ni moi n’habitons à proximité de nos e n f a n t s, il nous a semblé qu’il leur manquerait une surveillance rapprochée. Par exemple ce soir, il serait nécessaire qu’ils restent au coin un bon moment pour intégrer leur nouvelle condition. Or, nous ne pouvons pas rester aussi longtemps. Nous avons pensé que vous pourriez jeter un œil jusqu’à ce que leur punition soit levée.
– Oui, bien sûr !
– Je me demandais, intervint Clotilde, si vous ne pourriez pas assurer une supervision permanente : jeter un œil à ce qu’ils font, veiller à ce qu’ils tiennent leur appartement propre et en ordre, surveiller leurs heures de retour à la maison … Une sorte de baby-sitter permanente. Bien entendu Laure et Denis vous rémunèreront pour ce travail. Comme ils vont sortir beaucoup moins, ils en auront les moyens.
– Il va de soi, enchaîna Chantal que nous vous autoriserons à les punir quand vous le jugerez nécessaire. Il faudra bien vous faire obéir !
– Les punir ? Vous voulez dire leur donner la fessée ?
– Oui, c’est bien ce que j’envisageais, si vous êtes d’accord Clotilde.
– Tout à fait. Il serait normal que vous ayez tout autant le droit de les déculotter et de les fesser que nous si vous devenez leur baby-sitter. »
Il y eut un petit moment de silence. Madame Caroni réfléchissait.
« C’est une grande responsabilité que vous me demandez là. Je ne voudrais pas que vous croyiez que je le fais pour l’argent que cela me rapporte. »
La petite négociation qui s’engagea ne dura pas longtemps. L’accord fut fait sur une petite somme mensuelle que Laure et Denis lui verserait.
« J’aurai mauvaise grâce à refuser. Ce sera faire œuvre utile. J’accepte avec plaisir. »
Les trois femmes se congratulèrent. Aucune ne pensa que Laure et Denis pourraient avoir leur mot à dire. Après tout, ces décisions étaient prises pour leur bien.
« Pour ce soir, voyons quelle heure est-il ? Vingt heures. Vous leur laissez une demi-heure pour manger, puis retour au coin. Ne les couchez pas plus tard que vingt-et-une heure, vingt-et-une heure trente. Ils ont du sommeil en retard, vu le week-end qu’ils ont passé.
– Ne vous inquiétez pas. Ce sera fait.
– Au moindre caprice, la plus petite désobéissance, vous leur donnez la fessée.
– Vous pouvez compter sur moi pour cela également.
– Mettons les choses au point avec ces deux-là. Laure, Denis, venez-ici ! »
Ce fut difficile de faire face à Madame Caroni, de se diriger vers elle en lui exhibant ses parties génitales dénudées, comme le ferait sans honte un petit e n f a n t . Il fallut pourtant venir se mettre debout devant les trois femmes en gardant ses vêtements suffisamment haut pour laisser ses fesses nues.
« Vous connaissez Madame Caroni ?
– Oui, répondirent-ils de concert.
– Oui qui ? »
Une claque sur le haut de la cuisse de chacun les rappela à l’ordre.
« Oui Maman,
– Oui Maman Clotilde.
– Faudra-t-il que nous vous rapprenions également la politesse ? Madame Caroni, vous y veillerez ?
– Sans souci ! Vous aurez sous peu deux e n f a n t s très poli. »
Chantal et Clotilde approuvèrent d’un hochement de tête.
« Vous avez entendu. Désormais, Madame Caroni va vous surveiller. Vous lui obéirez en tout point et nous lui avons demandé de vous donner la fessée quand elle le jugera que vous en avez besoin. »
Denis jeta à œil à sa voisine et il lut une détermination sans faille dans son regard. Elle n’hésiterait pas à faire usage de cette autorisation.
« Vous passerez ce week-end à la maison. Il y a encore quelques fessées que je vous dois. J’en profiterai pour vous les administrer. Je vous attends dès vendredi soir, disons dix-neuf heures, le temps de venir.
– Mais nous allons à un anniversaire d’un copain samedi, risqua Laure.
– C’est annulé. Je crois que pour les semaines à venir, il n’y aura plus de sortie à votre planning. Nous verrons dans quelques temps, si vous êtes sages, si nous en autorisons une de temps en temps. De toute façon, ce ne sera plus en semaine. Vous surveillerez cela Madame Caroni ?
– C’est noté ! Ils seront rentrés à l’heure et couchés de bonne heure.
– Vous passerez à la maison demain soir, continua Chantal. Je vérifierai l’état de vos postérieurs après cette avalanche des fessées que vous avez reçues ce soir. Et gare à vous si vous n’avez pas été obéissants avec Madame Caroni. «
Tout était dit. Laure et Denis retournèrent au coin sous la surveillance de Madame Caroni pendant que leurs mères prenaient congé. Une nouvelle vie commençait.
JLG
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